Aujourd’hui, j’ai bu un coca trouvé dans le frigo grand-parental ("vacances" obligent). Allons-bon, me direz-vous, la voilà qui raconte sa vie par le menu … Fuyons !
Rassurez-vous, je m’arrête là dans ma narration. Je m’arrête d'ailleurs dans ma boisson. Avec le sentiment étrange d’avoir transgressé.
Coca rouge et blanc, à la Starsky et Hutch : espèce en voie de disparition. Caféine, 16 sucres aux 3 millilitres : de quoi donner méchamment les nerfs à notre diabète ... Sans compter tout ce qu'on n'identifiera pas. Méfions-nous, ma bonne dame, les produits chimiques !
On ne voit plus la pub mettant en scène notre cher ami Joey depuis la fin des années 80 (ou 90, et c'était peut-être déjà du "diet coke" qu'on essayait de nous vendre) et les canettes sont plutôt noires à présent.
Le light, puis le zéro quand l’aspartame a perdu droit de cité dans mes rayons, ont remplacé l’original. (Il ne m’a jamais semblé que le décaféiné puisse être fait pour moi ;)
J’avais déjà l’impression de braver l’interdit en allumant une cigarette, situation plutôt préoccupante, même si mes poumons se satisfont sûrement de cet état de fait … Est-ce une autocensure inconsciente ou une évolution générale ?
Mon agenda, où est-il encore ? … Le voilà, caché au rayon surgelé (peur névrotique du surbooking) :
(Bonnes, ou pas ) Résolutions pour 2009, essayer de s'autoriser à prendre des dispositions libertaires …
2 commentaires:
Bonnes "vacances",ton goût pour la transgression, c'est lié à Pinochio?
Chère Amandine,
Les vacances sont presque finies ... :)
Enregistrer un commentaire